Pourquoi pas lui, s'est-il dit, en pleine polémique sur la probable accession du fils du président de la République à la présidence de l'Epad. Le maire (PCF) de Nanterre a donc lui aussi annoncé sa candidature à la présidence de la structure qui gère le quartier d'affaire de la Défense.
«Je ne vois pas en quoi je serai moins légitime que Jean Sarkozy», a déclaré Patrick Jarry - l'un des 18 administrateurs de l'Epad - en marge d'une réunion à la préfecture des Hauts-de-Seine, à Nanterre. D'autant que comme il l'expliquait, dans un entretien à Libération.fr, «avec l'extension de La Défense», prévue dans un projet de décret, «le territoire sera à 70% situé» sur le territoire de sa commune.
Le conseil d’administration (CA) de l’Epad, composé de neuf représentants des collectivités territoriales et autant de représentants de l’Etat, doit se réunir le 4 décembre pour élire un successeur à Patrick Devedjian, touché par la limite d’âge de 65 ans.
D’ici là, le conseil général des Hauts-de-Seine doit élire un nouveau représentant, après la démission d’Hervé Marseille (Nouveau Centre). Le conseiller général (UMP) et fils cadet du chef de l’Etat, Jean Sarkozy, a obtenu jeudi de la majorité UMP-NC le soutien pour se présenter au