Il y a la droite qui réplique. Et celle qui panique, redoutant l'impact de la candidature controversée de Jean Sarkozy à la présidence de l'Epad sur la courbe des sondages ou les résultats des futures élections partielles. Une préoccupation plutôt justifiée, selon les instituts de sondages qui relèvent une accumulation de faux pas.
Le député (UMP) des Yvelines Pierre Cardo l'a clairement exprimé mardi en réunion de groupe à l'Assemblée nationale, à quelques jours du second tour d'une législative partielle dans son département, que David Douillet doit tenter de maintenir à droite. «Au premier tour, on a déjà eu des attaques sur la taxe carbone et sur les affaires de quelques membres du gouvernement», a-t-il rappelé, dans une allusion à la querelle autour des écrits de Frédéric Mitterrand. «Et maintenant, pour le second tour, on a l'affaire de l'Epad», s'est-il agacé. Sans cacher l'effet démobilisateur sur l'électorat UMP. «On entend en circonscription des parents dont les enfants ne trouvent pas de stages...» Applaudissement de ses collègues. En privé, d'autres élus UMP se désolent de cet épisode «catastrop