Alors que les polémiques se sont récemment enchaînées autour du chef de l'Etat (procès Clearstream, écrits de son ministre de la Culture Frédéric Mitterrand, candidature de son fils à la présidence de l'Epad), et que certaines réformes passent mal au sein de sa majorité (taxe carbone, taxe professionnelle, réforme des collectivités territoriales, etc.), Nicolas Sarkozy se décide à reprendre la main. Après une visite surprise, ce jeudi, sur le site de Gandrange pour rencontrer les élus, les représentants syndicaux et la direction de l'usine ArcelorMittal, il a donné un entretien au Figaro, que le quotidien publie dans son édition de vendredi. Voici ses principales déclarations.
Jean Sarkozy briguant la présidence de l'Epad. Discret jusqu'alors sur une probable élection de son fils à la tête de la structure qui gère le quartier d'affaires de la Défense, extrêmement critiquée par l'opposition, Nicolas Sarkozy estime être la cible indirecte des attaques: «A travers cette polémique, qui est visé? Ce n'est