Sans donner dans la psychanalyse de supermarché, on se dit : seulement 23 ans et déjà trois belles-mères pour le prix d’une ! Soit donc, la mère de sa jeune épouse (Jessica Sebaoun), mais aussi les femmes successives de Mon papa : Cécilia puis Carla. S’y ajoute, à part un frère aîné certifié (Pierre, 25 ans), cinq grands-mères et une palanquée de vrais faux frangins-frangines : Louis, le fils de Mon papa et de Cécilia, Jeanne-Marie et Judith, les deux filles de Cécilia et de Jacques Martin, et enfin Aurélien, le fils de Raphaël Enthoven et Carla. Ce n’est plus une famille recomposée c’est un roman russe où il y a intérêt à noter les prénoms sur des post-it pour ne pas s’emmêler les branches de l’arbre généalogique. A se demander si il y a à l’Elysée un divan assez large pour allonger tout le monde.
Jeannot le petit lapin fut longtemps le cadet des soucis de son père. Le petit de Nicolas longtemps se coucha de bonne heure sans que son géniteur migrateur ne vienne déposer sur son front le baiser du soir espoir. Jean a 3 ans en 1989 quand Mon papa et Ma maman (Marie-Dominique Culioli) se séparent, avant de divorcer en 1996. Autre handicap postnatal, c’est Brice Hortefeux qui est son parrain. Rien ne prouve que baby Jean ait poussé un cri d’effroi en découvrant le visage de Brice penché sur son berceau dans le rôle de la bonne fée, mais l’hypothèse est plausible.
Maternelle et traditions
Jean et son frère Pierre sont éduqués par leur mère. De la maternelle à la sec