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Repères

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publié le 13 novembre 2009 à 0h00

«Nous sommes partis juste après les élections en grande partie à cause de Sarkozy […]. Je trouve détestable cette atmosphère de flicage, de vulgarité… Besson, Hortefeux, tous ces gens-là, je les trouve monstrueux.»

Marie NDiaye dans un entretien publié cet été par les Inrockuptibles expliquant pourquoi elle avait choisi de vivre à Berlin

Dans une question écrite adressée au ministre de la Culture, Eric Raoult, député UMP, dénonce «les prises de position inacceptables», de Marie NDiaye, arguant du «devoir de réserve dû aux lauréats du prix Goncourt». Il estime qu'une «personnalité qui défend les couleurs littéraires de la France se doit de faire preuve d'un certain respect à l'égard de nos institutions».

«Je suis devenu ministre […] pour renforcer le soutien aux créateurs et aux artistes que j’ai défendus toute ma vie : les célèbres comme les humbles, les grands comme les petits.»

Frédéric Mitterrand le 21 juillet à l’Assemblée

Le soutien à Roman Polanski

Dimanche 27 septembre, au lendemain de l'arrestation de Polanski à Zurich, Frédéric Mitterrand réagit : «Le voir ainsi jeté en pâture pour une histoire qui n'a pas vraiment de sens et de le voir ainsi pris au piège, c'est absolument épouvantable». Plusieurs parlementaires UMP menés par Marc Laffineur et Chantal Brunel, ainsi que d'autres personnalités dont Daniel Cohn-Bendit, s'étonnent de ce soutien.

En juillet, à la su