Menu
Libération
Echos de campagne J-36

L’Alsace à gauche, Aubry y croit

Article réservé aux abonnés
...Et aussi: Frêche donné gagnant, selon un sondage, en Languedoc-Roussillon, Hidalgo critiquée pour un «mélange des genres» entre sa candidature et ses fonctions, le PS sort une carte des couacs de l'UMP.
Georges Frêche, président du Conseil régional du Languedoc-Roussillon, le 02 février 2010 à sa permanence à Montpellier (AFP Pascal Guyot)
publié le 9 février 2010 à 9h05
(mis à jour le 9 février 2010 à 16h22)

Aubry à la conquête de l’Est

La première secrétaire du PS, qui a dernièrement rêvé d'une «France toute rose», le 21 mars, a estimé, ce mardi, que l'Alsace, seule région avec la Corse, actuellement dirigée par l'UMP, «peut basculer à gauche». Lors d'un point de presse à Colmar, Martine Aubry a vanté les «atouts formidables» de la région, «au coeur de l'Europe». Mais «son grand problème, c'est l'emploi» à défaut, «de politique industrielle dans la région», a-t-elle déploré au côté de Jacques Bigot, chef de file du PS en Alsace, donné dans un récent sondage, derrière Europe écologie au premier tour.

Le sondage qui réjouit Frêche

Selon un sondage TNS Sofres-Logica (1) pour

, L'Indépendant et France Bleu publié mardi, la liste du président sortant de Languedoc-Roussillon, serait en tête au premier tour, dans tous les cas de figure. Elle est créditée de 31% des intentions de vote si la maire de Montpellier,

et Jean-Louis Roumégas, tête de liste Europe Ecologie, font cavalier seul (11% et 10% respectivement).

Si socialistes et écologistes s'entendent dès le premier tour, ils recueilleraient 20% des intentions de vote si la liste e