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La soirée électorale

Delanoë: «A Paris, la gauche devrait faire un score historique»

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Et aussi: Besancenot appelle à «un troisième tour social», Hamon pronostique «une cure d'austérité sans précédent» et Besson ne croit pas «avoir joué le jeu du FN».
par Libération.fr
publié le 14 mars 2010 à 19h04
(mis à jour le 15 mars 2010 à 1h58)

0h15. Le Front national est en mesure de se maintenir dans au moins 12 régions sur 22 en métropole au second tour, contre 17 en 2004.

23h50. Nicolas Dupont-Aignan, tête de liste de Debout la République (DLR) en Ile-de-France, indique qu'il ne donne aucune consigne de vote à ses électeurs pour le second tour. "Je ne suis pas propriétaire de mes voix", a dit le maire d'Yerres et député de l'Essonne, crédité par les instituts de sondage de 4,1% (TNS-Sofres) à 4,9% (Opinionway) des voix. Son parti ne présentait pas de liste ailleurs.

23h30. Bertrand Delanoë, maire PS de Paris, affirme que la gauche n'a "jamais été aussi haut dans une élection" dans la capitale. "D'après ce qui se dessine, on devrait avoir à Paris un score historique de la gauche."

23h. Le secrétaire d'Etat au Logement, Benoist Apparu, a estimé qu'il y avait "une alliance de fait" entre le PS et le FN. Selon lui, le Parti socialiste va conserver "un certain nombre de régions grâce au Front national". "Clairement, dans ma région (Champagne-Ardenne, ndlr), c'est la triangulaire qui fera que le PS gagnera cette région-là".

22h50. A Roubaix, les électeurs se font remarquer... par leur absence : 72 % d'abstention, qui dit mieux? Plus de détails