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Libération

Affaire Reiss: Cohn-Bendit moque les protestations des «vierges socialistes»

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Daniel Cohn-Bendit le 8 mars à Strasbourg (© AFP Patrick Hertzog)
publié le 18 mai 2010 à 11h47
(mis à jour le 18 mai 2010 à 11h49)

Contreparties ou pas au régime iranien? La polémique n'en finit pas depuis le retour en France de Clotilde Reiss, dimanche, après avoir été retenue à Téhéran depuis le 1er juillet 2009. Alors que la libération conditionnelle de l'Iranien Ali Vakili Rad, ce mardi matin, relance cette question, Benoît Hamon, en rajoute une louche. C'est «devenu une méthode de gouvernement que de prendre les gens pour des imbéciles», s'agace le porte-parole du PS alors que Daniel Cohn-Bendit presse les socialistes d'arrêter de «jouer aux vierges».

Invité de France Info ce matin, Benoît Hamon, qui avait déjà noté «manifestement des contreparties» pour la libération de l'étudiante, brosse un parallèle entre l'attitude de l'exécutif dans l'affaire Reiss et le refus de parler de «rigueur». Quand l'exécutif «dit qu'en France, on n'est pas en périod