Au lendemain de l'annonce de la mort de Michel Germaneau, l'otage français tué au Sahel par ses ravisseurs, François Fillon a assuré, mardi sur Europe 1, que le combat allait «se renforcer» contre l'organisation Al-Qaeda au Maghreb islamique (Aqmi) qui a revendiqué l'exécution.
Alors qu'il venait de confirmer «l'assassinat» de cet ingénieur à la retraite engagé dans l'humanitaire, Nicolas Sarkozy avait conclu, hier lundi, en affirmant que ce crime «ne restera pas impuni». Qu'entendait-il ainsi ? Le Premier ministre a répondu: «le combat contre le terrorisme continue», en particulier contre l'Aqmi.
Traquer les terroristes pour les livrer à la justice ou pratiquer la vengeance ? «La France ne pratique pas la vengeance, en revanche nous avons des accords avec les gouvernements de la région et en particulier avec le gouvernement mauritanien, avec le gouvernement malie