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Tunisie: «Nous n'avions pas pris la juste mesure» de la «désespérance»

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Pour sa troisième conférence de presse (seulement) depuis 2007, le chef de l'Etat, qui avait limité les questions des journalistes aux dossiers internationaux et à la préparation du G20, a longuement plaidé pour une taxe sur les transactions financières.
Nicolas Sarkozy le 18 janvier. (Jean-Marc Loos / Reuters)
publié le 24 janvier 2011 à 10h38
(mis à jour le 24 janvier 2011 à 13h34)

Fin de la rituelle série des voeux pour Nicolas Sarkozy, qui tient aussi, ce lundi matin, sa troisième conférence de presse depuis son élection en 2007. Et un dispositif un peu particulier puisque l’Elysée a choisi d’inviter en même temps journalistes et diplomates, et de limiter ainsi l’échange aux dossiers internationaux et à sa préparation du G20. Retrouvez ses principales déclarations.

G20: «Nouvelles idées» pour «un nouveau monde»

«L’ambition de notre présidence est simple: nous vivons dans un nouveau mond, nous avons besoin de nouvelles idées. [...] Tout ce qui a été créé en 1945 reposait sur des équilibres qui, aujourd’hui, ne sont plus les mêmes. [...] Le deuxième constat, c’est que nous vivons dans un monde totalement interdépendant, de plus en plus volatile. [...] La troisième caractéristique, ce sont les défis globaux, changements climatiques, défis du développement qui demandent une réponse globale.»

Taxe sur les transactions financières: «Nous envisageons de prendre des initiatives»

«la France est favorable à la taxe sur les transactions financières. La France considère que cette taxe est morale, utile et efficace [...] Je sais bien que cette taxe à de grands advservaires sur son chemin. La France confiera une mission à une personnalité de la socité civile. [...]

Nous envisageons de prendre des initiatives sur la taxe sur les transactions financières. On ne peut pas être crédibles en prenant des initiatives absolument seuls. [...] Nous sommes prêts à un panier de financements innovants.»

«La France envisage un socle de protection sociale universelle»

«Les partenaires sociaux sont totalement associés aux travaux du G20. Comment donner davantage de poids à l’o