Branle-bas de combat général. A plus d'un an de la présidentielle et alors que les candidats ne sont pas encore connus, deux sondages controversés viennent de donner Marine Le Pen en tête d'un premier tour, devant Nicolas Sarkozy pour l'UMP et le candidat socialiste, qu'il s'agisse de Martine Aubry, DSK ou François Hollande.
Après avoir oscillé entre prudence et panique et critiqué la fiabilité de l'étude, les partis préparent la contre-offensive pour barrer la route au Front national. La solution de certains à l'UMP et au PS? Désigner un candidat unique pour leur camp. «Chantage» au vote utile, pas vraiment du goût des autres formations.
Tranchant la question de la pertinence d’une candidature centriste de premier tour se ralliant à la droite au second, plusieurs personnalités UMP sonnent ainsi le rassemblement autour de Nicolas Sarkozy.
«Dans un an, nous aurons moins de candidats»
Sur Europe 1 mardi, le ministre Xavier Bertrand veut croire que «dans un an, nous aurons moins de candidats qu'il n'y en a aujourd'hui dans les enquêtes d'opinion, tout simplement parce qu'il y aura cette volonté de rassemblement des élec