Les réactions continuent après les derniers rebondissements de l'affaire DSK. Le secrétaire général de l'UMP, Jean-François Copé, a déclaré dimanche qu'un éventuel retour de DSK dans la vie politique française était «l'affaire de la gauche». «Je ne peux pas avoir des interprétations sur le comportement de tel ou tel de nos adversaires politiques», a déclaré Copé, invité du Grand Rendez-vous Europe 1/Le Parisien-Aujourd'hui en France.
Il n'pas souhaité réagir à la déclaration, un peu plus tôt dimanche sur Europe 1, de la ministre des Sports Chantal Jouanno sur Strauss-Kahn: «Il n'a pas donné une image extrêmement positive ces derniers temps, entre ses goûts de luxe et d'autres sujets».
Le député PS de l'Eure François Loncle, proche de Dominique Strauss-Kahn, a été plus loin dans le commentaire. «Tout n'est pas clair dans le comportement des dirigeants du Sofitel (…) et il peut y avoir eu des connexions entre le groupe Accor [propriétaire français de l'hôtel Sofitel de New York] avant ou après l'affaire et peut-être certaines officines françaises», a-t-il déclaré sur France Info. «Moi je n'irai pas plus loin, ce n'est pas à moi de faire l'enquête» mais «je pense qu'il peut y avoir une version française comme il peut y avoir une version américaine de cette affaire», a ajouté le vice-président du groupe PS à l'Assemblée nationale.
Samedi, le président du Mouvement démocrate