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Encore de la lecture pour Montebourg

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Benoît Hamon, Henri Emmanuelli et Marie-Noëlle Lienemann répondent à la lettre du troisième homme de la primaire pour le convaincre de voter Aubry.
Henri Emmanuelli. (Photo Jean-Paul Pelissier. Reuters)
publié le 12 octobre 2011 à 18h33

La boîte aux lettres d'Arnaud Montebourg est pleine à craquer. Après le leader du Parti de gauche, Jean-Luc Mélenchon, et le souverainiste de Debout la République, Nicolas Dupont-Aignan, c'est toute une brochette de la gauche du PS ralliée à Martine Aubry qui répond, sur le site de «Marianne», à la lettre ouverte adressée, mardi, par le «troisième homme» aux deux finalistes de la primaire, François Hollande et Martine Aubry.

Dans ce texte intitulé «Ce ne peut être qu'Aubry!», Henri Emmanuelli, Benoît Hamon et Marie-Noëlle Lienemann, qui donnent à Montebourg du «cher Arnaud», reprennent la formule de leur championne sur «une gauche forte» pour battre «une droite dure»: «la majorité de celles et ceux qui se sont déplacés le 9 octobre pensent que pour battre la droite, il faut une gauche décomplexée.»

Le félicitant pour sa percée-surprise qui «traduit cette tendance génér