Un complot contre DSK ? C'est la thèse que Michel Taubmann, biographe et défenseur de Dominique Strauss-Kahn, développe aujourd'hui dans Affaires DSK, la contre-enquête (Editions du moment). Selon des extraits cités par l'AFP, Dominique Strauss-Kahn y affirme qu'il regrette une «relation consentie mais stupide avec Nafissatou Diallo. Ce jour-là, j'ai ouvert la porte à toutes les autres affaires». Celle du Carlton ? DSK juge «insupportable» d'être associé à la prostitution.
Mais il reconnaît avoir «participé à des soirées libertines». «D'habitude, les participantes à ces soirées ne sont pas des prostituées» et «quand on vous invite à une soirée, vous ne demandez pas à voir la facture», dit-il. Ajoutant : «La prostitution, le proxénétisme, je les ai en horreur.» Il a «décidé de rompre avec tout cela. C'est fini». Quant à Anne Sinclair, elle s'en prend à François Hollande, «seul de tous les dirigeants socialistes qui ne nous a ni téléphoné ni écrit». Taubmann soutient la thèse d'une relation sexuelle consentie, voire provoquée par Nafissatou Diallo qui pourrait, selon lui, être l'auteur du vol du téléphone portable disparu de l'ex-patron du FMI.
Par ailleurs, selon nos informations, «plus de 20 SMS» auraient été échangés le 14 mai entre le directeur de la sécurité du groupe Accor à New York, John Sheehan, et l'ingénieur en chef du Sofitel, Brian Yearwood. L'échange aurait eu lieu «entre