«Le cas du conseil général de Corrèze est typique. Il y a eu 50% d’augmentation d’embauches depuis que François Hollande est président du conseil général, c’est quand même un très beau score.»
Jean-François Copé jeudi, sur France 2.
Intox
L'offensive contre François Hollande passe aussi par la Corrèze. Et dans cette stratégie-là, Jean-François Copé prend une part active à la charge. Il y a un mois, il était allé dans le département présidé par le candidat socialiste pour le confronter à son «seul bilan» dans «le laboratoire de ce qu'il pourrait être tenté de faire pour la France si demain, ce qu'à Dieu ne plaise, il devait être élu président de la République». Le patron de l'UMP pointait le fait qu'«en quatre ans, la dette a augmenté de 110 millions d'euros». Jeudi matin, sur France 2, le député et maire de Meaux en rajoutait une couche sur «les collectivités locales qui, pour beaucoup d'entre elles - regardez les départements et les régions socialistes -, dépensent n'importe comment. […] Le cas du conseil général de Corrèze est typique. Il y a eu 50% d'augmentation d'embauches depuis que François Hollande est président du conseil général, c'est quand même un très beau score, à l'inverse de tout ce qui se fait dans les collectivités publiques responsables».
Désintox
Cela fait plusieurs fois que l'UMP matraque l'argument corrézien - «la Grèce de la France». Avec un thème choc : la Corrèze est le département le plus endetté de Franc