Valérie Trierweiler faisait vendredi ses premiers pas internationaux de «First Lady» aux Etats-Unis qui attendent avec impatience, quitte à un peu oublier le nouveau président français François Hollande, une femme «chic, futée, indépendante... et pas mariée».
La journaliste devait au cours de son séjour américain participer à toutes les manifestations officielles des épouses. La Maison Blanche l’a fait savoir: pas de problème de protocole pour accueillir la compagne de François Hollande.
Arrivée vendredi matin à Washington vêtue d’un sobre pantalon noir et d’un manteau blanc, elle n’a pas participé pas au déjeuner aux côtés de François Hollande avec la secrétaire d’Etat Hillary Clinton mais devait accompagner le nouveau président à l’ambassade de France, pour une rencontre avec la communauté française et ses 2 000 invités.
Samedi, elle sera réellement pour la première fois face aux caméras en participant à un déjeuner à la Maison Blanche à l’invitation de Michelle Obama, l'épouse du président américain Barack Obama.
Dimanche à Chicago, où se tient un sommet de l’Otan, elle visitera avec Mme Obama le lycée Gary Comer College, puis assistera à un dîner offert par l'épouse du président américain au musée Art Institute of Chicago.
Le lendemain, Valérie Trierweiler visitera le lycée français de Chicago.
Pour les médias américains, la journaliste de 47 ans «futée et talentueuse», deux fois divorcée et mère de trois enfants, est chic, élégante, ressemble à Lau