La presse britannique a fait ses choux gras mercredi du tweet de la Première dame française Valérie Trierweiler, qui a déclenché selon le Daily Telegraph une «guerre des roses» entre l'actuelle et l'ex-compagne du président François Hollande.
La compagne de François Hollande a «provoqué la première crise de sa présidence», juge le Times. Un petit encart montre Hollande, mains tendues devant lui dans un geste d'apaisement, avec pour légende - en français - : «Mais, mesdames, je suis le Président».
Le correspondant du quotidien à Paris constate que «l'amour règne en maître en France» et attribue le fameux tweet de soutien de Valérie Trierweiler à l'adversaire de Ségolène Royal pour les législatives à La Rochelle à «la jalousie», citant le proverbe «la jalousie n'est pas un défaut, c'est une preuve d'amour».
Et de rappeler que la première dame française a déjà montré sa nature «romantique» en exigeant un baiser de François Hollande le jour de la victoire à la Présidentielle, et en dansant avec lui sur l'air de La vie en rose...
Cette «saga amoureuse compromet l'image du "président normal"», estime pour sa part The Guardian. «Hollande a soigneusement projeté l'image d'un président "normal" et les pieds sur terre, mais l'animosité entre son actuelle et son ex-petite amie tourne au "soa