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revue de presse

La presse britannique évoque la «guerre des roses» de Trierweiler et Royal

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Les journaux du Royaume-Uni commentent l'affaire du «tweet», y voyant tantôt un premier faux pas pour la présidence Hollande, tantôt une nouvelle preuve
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publié le 13 juin 2012 à 10h50

La presse britannique a fait ses choux gras mercredi du tweet de la Première dame française Valérie Trierweiler, qui a déclenché selon le Daily Telegraph une «guerre des roses» entre l'actuelle et l'ex-compagne du président François Hollande.

La compagne de François Hollande a «provoqué la première crise de sa présidence», juge le Times. Un petit encart montre Hollande, mains tendues devant lui dans un geste d'apaisement, avec pour légende - en français - : «Mais, mesdames, je suis le Président».

Le correspondant du quotidien à Paris constate que «l'amour règne en maître en France» et attribue le fameux tweet de soutien de Valérie Trierweiler à l'adversaire de Ségolène Royal pour les législatives à La Rochelle à «la jalousie», citant le proverbe «la jalousie n'est pas un défaut, c'est une preuve d'amour».

Et de rappeler que la première dame française a déjà montré sa nature «romantique» en exigeant un baiser de François Hollande le jour de la victoire à la Présidentielle, et en dansant avec lui sur l'air de La vie en rose...

Cette «saga amoureuse compromet l'image du "président normal"», estime pour sa part The Guardian. «Hollande a soigneusement projeté l'image d'un président "normal" et les pieds sur terre, mais l'animosité entre son actuelle et son ex-petite amie tourne au "soa