Valérie Trierweiler ne peut visiblement pas se voir en photo. Et encore moins en maillot. La semaine dernière, plusieurs magazines (VSD, Voici, Closer) ont fait leur une avec des images du couple élyséen se baignant à Brégançon (Var). Au grand dam de la première dame, Paris Match, où Trierweiler est journaliste culture, a également publié le cliché en question. Mais en pages intérieures.
Dans son dernier édito (daté du 9 août), le rédacteur en chef adjoint de VSD raconte qu'il a été contacté par un proche de Valérie Trierweiler avant le bouclage, lui précisant qu'elle n'hésiterait pas à attaquer l'hebdomadaire en justice s'il publiait les clichés. Même son de cloche chez Voici, où l'on évoque «d'amicales pressions» de l'entourage de Trierweiler. A Grazia, où aucune photo de paparazzi n'est pourtant jamais parue, la direction a reçu un fax de mise en garde de ses avocats.
Le hic, c’est que cette susceptibilité jure avec le plan com concocté autour des vacances normales du chef de l’Etat. Chaque étape a donné lieu à des clichés : du départ en TGV première classe depuis Paris, le 2 août, aux bains de foule organisés sur les marchés. Sans oublier les balades sur la plage, où le Président s’est fait prendre en photo, le polo par-dessus la ceinture, à la Chirac, avec des vacanciers ravis.
Cette minipolémique relance la question du statut de la compagne du président. Valérie Trierweiler, qui a tenu à conserver son activité professi