Cécilia Attias confie à l'hebdomadaire Elle sa «vérité» sur les moments de sa séparation de Nicolas Sarkozy, «sa culpabilité» d'alors et explique le pourquoi du Fouquet's, répondant au passage à ses détracteurs.
Dans cette interview accordée à Elle à paraître vendredi et réalisée à la faveur de la publication le 9 octobre de son livre, Une envie de vérité (Editions Flammarion), l'ex Première dame assure qu«évidemment» elle s'est «sentie coupable», mais ajoute-t-elle, «la culpabilité, ça n'apporte rien, c'est stérile, c'est pire que le regret».
Celle qui ne s'était jamais exprimée sur cette période de sa vie explique avoir décidé d'écrire pour «défendre (ses) idées» mais aussi pour «dire les choses telles» qu'elle les avait «vécues». «Evidemment, j'ai été blessée par les attaques dont j'ai fait l'objet. J'ai toujours encaissé sans rien dire mais, contrairement à ce que l'on croit, le cuir ne s'épaissit pas», dit-elle.
Elle affirme que, contrairement aux propos de proches de Nicolas Sarkozy, l'idée de fêter la victoire du nouveau chef de l'Etat au Fouquet's n'était pas la sienne : «En réalité, Nicolas et moi avons choisi ce lieu ensemble parce que les Champs-Elysées sont le coeur de Paris et Paris est le coeur de la France.»
De même, Mme Attias assure que ce n'est pas elle qui a dressé la liste des invités de cette soirée, qui fut décriée tout au long du mandat de Nicolas Sa