Dans une tribune publiée dans votre édition du 21 octobre 2013 et intitulée «Argent contre démocratie à Corbeil», monsieur Bruno Piriou, qui a été un opposant municipal historique à mon prédécesseur à la mairie de Corbeil-Essonnes, monsieur Serge Dassault, puis un candidat malheureux lors des élections municipales de décembre 2010, prétend dénoncer un système que monsieur Serge Dassault et moi-même aurions mis en place. Sans reprendre de manière exhaustive les accusations infondées contenues dans cette tribune, j'aimerais y apporter les précisions suivantes.
Tout d'abord, les élections municipales de décembre 2010 n'ont donné lieu à aucune contestation, pas même de la part de monsieur Bruno Piriou qui, pourtant, était candidat. De plus, monsieur Bruno Piriou ne peut prétendre ignorer que les dons officiels opérés par monsieur Serge Dassault, en dehors des périodes électorales, depuis son compte personnel, pour soutenir des actions culturelles, économiques et sociales ne s'apparentent en aucune manière à des «achats de voix». De même, la complainte «du puissant protégé par les médias» développée dans cette tribune, me paraît particulièrement inappropriée, une simple revue de presse prouverait qu'il n'en est rien.
Il m’apparaît donc évident que, par ses propos, monsieur Bruno Piriou tente, une fois encore, de faire oublier à vos lecteu