Menu
Libération
Verbatim

Anne Sinclair : «On ne quitte pas un homme quand il est à terre»

Article réservé aux abonnés
L’ex-épouse de Dominique Strauss-Kahn est revenue sur l’affaire du Sofitel, qui a signé la chute de l’homme politique, ce mardi soir sur France 2.
La journaliste française Anne Sinclair à Paris le 10 avril. (Photo Jacques Demarthon. AFP)
publié le 22 avril 2014 à 12h00
(mis à jour le 22 avril 2014 à 23h17)

De grande révélation, il n'y a pas eu. Invitée de l'émission Un jour, un destin qui lui était consacrée, ce mardi soir sur France 2, Anne Sinclair était attendue sur le sujet Dominique Strauss-Kahn, son ex-mari. Celle qui a toujours proclamé ne rien croire de l'affaire du Sofitel est restée sur la même ligne, malgré les promesses de grande déclaration fracassante.

«Je peux répondre à quelques - quelques ! - questions tant que ça n'entame pas une pudeur qui est la mienne», a-t-elle prévenu au début de l'interview, «je n'aime pas les déballages».

«Elle mord, elle défend, quand on attaque ceux qu'elle aime», a d'ailleurs expliqué la communicante Anne Hommel lors de l'émission, en évoquant l'affaire de la Mnef, où DSK avait été accusé d'avoir indûment perçu 600 000 francs.

Lorsque Dominique Strauss-Kahn prend la tête du FMI en septembre 2007, Anne Sinclair, peut-être clairvoyante, ne se montre pas très enthousiaste : «Elle en pleure, elle n'est pas contente, elle ne veut pas y aller, mais le devoir est là. Elle ne va pas dire non», s'est souvenue l'une de ses amies. Sur place, «elle s'ennuie, elle s'ennuie mortellement». Et pa