L'ex-compagne du président François Hollande, Valérie Trierweiler, s'est dite mercredi dans un tweet «heureuse de ne pas avoir à serrer la main» du président russe Vladimir Poutine, invité jeudi à l'Elysée.
Heureuse de ne pas avoir à serrer la main de Poutine ...
Interrogé un peu plus tôt sur TF1 et Europe 1, Poutine avait ironisé sur l'ancienne secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton, qualifiée de femme «faible» et manquant d'élégance dans ses propos. «Il vaut mieux ne pas se disputer avec les femmes. Mais Mme Clinton n'a jamais été très élégante dans ses déclarations (...) Quand les gens dépassent les limites, ce n'est pas parce qu'ils sont trop forts, mais parce qu'ils sont trop faibles. Mais peut-être que la faiblesse n'est pas la pire des caractéristiques pour une femme», avait-il lâché.
L'incertitude subsiste toutefois sur le degré de sexisme des propos de Vladimir Poutine, la traduction fournie par TF1 différant légèrement de celle de l'AFP. Dans cette version, le président russe affirme : «Vous savez, il est préférable de ne pas débattre avec les femmes. Quant à Mme Clinton, elle n'a jamais été trop subtile dans ses déclarations, mais cela ne nous a pas empêché de la rencontrer à de différents évènements internationaux et discuter normalement. Je pense qu'ici également nous pourrions trouver un langage commun, mais quand les gens dépassent certaines limites de p