Des arrêtés qui font polémique
Arrêté anti-linge aux fenêtres à Béziers
«Les façades ont un impact important sur l'attractivité économique et touristique de la ville et notamment en matière d'ordre esthétique […]. Par ailleurs, il est interdit de battre les tapis par les fenêtres après 10 heures du matin.»
Arrêté anti-drapeaux étrangers à Nice
Le maire de Nice a décidé le lundi 30 juin de prendre un arrêté «interdisant l'utilisation ostentatoire de tous les drapeaux étrangers sur l'hypercentre» de la ville pendant la durée de la Coupe du monde et à quelques heures des matchs France-Nigeria et Algérie-Allemagne.
Arrêté anti-torse nu à Ajaccio
«Il est interdit, en dehors des plages et de leurs abords, de se trouver sur la voie publique, seulement vêtu d'une tenue de bain, le torse dénudé.» Pris par le nouveau maire d'Ajaccio, Laurent Marcangeli, cet arrêté est en vigueur du 1er juin au 15 octobre.
Arrêté anti-cloches en seine-et-marne
En janvier, le maire de Boissettes (450 habitants, Seine-et-Marne) a été contraint par le tribunal administratif de Paris de prendre un arrêté pour interdire que les cloches de l’église du village sonnent toutes les trente minutes… Depuis la loi de 1905, le maire a la compétence de réglementer l’usage des cloches.
Arrêté anti-pluie en Moselle
«Pour permettre, dans de bonnes conditions, l'inauguration de l'Aéroparc ainsi que le bon déroulement de la fête de la musique, il est formellement interdit à la pluie de tomber sur ce site jusqu'au 23 juin.» «Une boutade», selon le maire de Yutz.
38
euros, c'est le montant maximum de l'amende encourue par les administrés pour le n