30 août François Hollande petit-déjeune avec les principaux leaders sociaux-démocrates européens à l'Elysée. Conseil Européen à Bruxelles dont l'ordre du jour est consacré, après l'échec de celui du 16 juillet, à la nommination du président du Conseil européen et du ministre des Affaires étrangères de l'UE.

Mi-octobre Sommet extraordinaire de la zone euro (18 pays), demandé jeudi par la France.

23-24 octobre Conseil européen économique des chefs d'Etats et de gouvernement des Vingt-Huit.

«L'Europe est menacée par une longue et peut-être interminable stagnation si nous ne faisons rien. [...] C'est l'intérêt de l'Europe car c'est sa place dans l'économie mondiale qui est en cause.»  François Hollande jeudi à Paris.

«En France, il s'agit de savoir si l'on fait de véritables réformes structurelles. Cela, le président français aussi l'avait annoncé.»  Angela Merkel, la chancelière allemande mercredi soir lors d'une interview publique organisée par le magazine «Cicero».

«Il faut poursuivre avec les politiques d'assainissement budgétaire. [...] Le déficit public doit être raisonnable, tout comme les niveaux d'endettement.»  Mariano Rajoy, chef du gouvernement espagnol le 25 août en Galice, avec Merkel.

«Il faut hausser le ton. L'Allemagne est prise au piège de la politique austéritaire qu'elle a imposée à toute l'Europe. »  Arnaud Montebourg encore ministre de l'Economie