Point d'Yves Jégo à la soirée de clôture de la journée parlementaires de l'UDI réunissant députés et sénateurs du parti de centre droit, créé au lendemain des législatives de 2012 par Jean-Louis Borloo. Le député-maire de Montereau-Fault-Yonne (Seine-et-Marne), vice-président du Parti radical et un des quatre candidats à la présidence de cette nouvelle UDF créée par l'ancien ministre de l'Ecologie de Nicolas Sarkozy, a choisi la discrétion.
Le moment se prêtait pourtant bien à vanter les mérites de sa candidature. Sauf que le matin même, Le Parisien révélait qu'une enquête préliminaire était ouverte à son encontre suite à un signalement de la Commission de la transparence de la vie publique, rebaptisée depuis Haute autorité, pour des sommes et des acquisitions à la provenance, à leurs yeux, peu explicables.
Pas question pour les centristes de l'UDI de subir à leur tour les accusations dont a été victime l'UMP. «Yves Jégo s'est expliqué de tout cela sur sa page Facebook. Il n'y a aucune raison de ne pas lui faire confiance», tranchait Hervé Morin, président du Nouveau Centre. Pourtant l'ancien ministre de la Défense de Nicolas Sarkozy avait conclu une alliance avec Jean-Christophe L