«Habituellement sur le boulevard Haussmann, on ne peut même pas passer à pied, on change de trottoir», expliquait mercredi le démonstrateur de e-robots du Printemps. A quelques heures de Noël, il n'y avait pas foule dans les grands magasins de la capitale. Y compris au rayon jouets, où l'animation était à peine meilleure, a constaté l'AFP. La menace terroriste soulignée par la présence renforcée de forces de l'ordre a tari cette année le flux habituel de chasseurs de cadeaux de dernières minutes et de lécheurs de vitrines enguirlandées. La semaine suivant le 13 Novembre, la fréquentation du Printemps et des Galeries Lafayette (photo) avait respectivement chuté de 30 % et 50 %. Photo Theo Duval.Xinhua.COrbis