euros, c'est le montant que la France a proposé aux parents de jumeaux nés d'une mère porteuse à l'étranger en échange de la non-transcription des actes de naissance des enfants à l'état civil français, selon le Monde. Ou comment arrêter de se faire taper sur les doigts par la Cour européenne des droits de l'homme sans lâcher du lest sur la gestation pour autrui (GPA)… «Cette somme ne sera soumise à aucun impôt et sera versée sur le compte bancaire indiqué par les requérants», précise un document émanant du Quai-d'Orsay que s'est procuré le journal. Le gouvernement ne souhaite pas, par la transcription dans l'état civil, donner une existence légale à la GPA.
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