C’est l’un des dix pays où l’excision est la plus pratiquée : en Gambie, selon l’Unicef, les trois quarts de la population féminine sont concernés. Mais on pourrait espérer que ça bouge : en novembre, le président gambien, Yahya Jammeh, a décrété l’interdiction immédiate de cette pratique. Un mois plus tard, le Parlement s’est fendu du premier texte de loi sur le sujet. Adopté le 29 décembre, il prévoit des peines de prison pouvant atteindre trois ans et-ou une amende de 1 300 dollars (près de 1 200 euros).
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