Depuis lundi et le début les travaux visant à déblayer tous les abris de la «jungle» de Calais - où survivent entre 800 et 1 000 migrants selon la préfecture, 3 450 selon les associations -, les travailleurs sociaux redoublent d’efforts pour proposer des solutions. Trois options sont «proposées» : accepter l’une des places chauffées dans le campement en dur de la jungle, rejoindre l’une des tentes bleues de la Sécurité civile, ou alors réserver une place de bus vers l’un des 102 centres d’accueil et d’orientation. Mais pour beaucoup, aucune de ces «solutions» n’en est une. Photo Aimée Thirion
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