C'est environ la hausse attendue de l'activité pour les premier puis le deuxième trimestres. L'acquis de croissance (son niveau si elle reste nulle au second semestre) à la fin juin serait alors de 1,1 % en France, selon la note de conjoncture de l'Insee, publiée ce jeudi. Soit l'équivalent de ce que le pays a connu sur l'ensemble de 2015. Un chiffre qui rend donc crédible la prévision du gouvernement pour 2016, qui table sur 1,5 %. Le PIB, à nouveau, serait nourri par la demande intérieure, notamment par la consommation des ménages. Egalement en forme en ce début d'année, les échanges extérieurs, qui contribueraient à la croissance.