1- «Moi, je ne suis pas M. Estrosi, je prends mes responsabilités.» Face à la menace terroriste, Martine Aubry renonce à organiser cette année la grande fête populaire à ciel ouvert, «la sécurité maximale ne pouvant être garantie», a précisé la maire socialiste.
2- De 1940 à 1944, l'Occupation allemande avait déjà eu raison de la braderie. Dès 1939, le maire SFIO de la ville annule l'événement face à l'imminence de la mobilisation générale. La tradition reprend à la Libération, mais il y a pénurie de moules.
3- 1596, 1603, 1617, 1635 : au XVIIe siècle, les épidémies successives de peste sèment la mort dans la capitale des Flandres. «On ne commerçait pas dans une ville déclarée pestiférée», expliquait en 2013 l'historien Alain Lottin à Grand Lille TV. Exit les «bradeurs».