L'Etat a-t-il protégé Renault, dont il est actionnaire à 20 %, en omettant des détails significatifs sur des véhicules du constructeur dans le rapport de la commission d'enquête sur les émissions polluantes des moteurs diesels, publié le 29 juillet ? C'est ce qu'affirmait mardi le Financial Times, citant plusieurs membres de cette commission créée fin 2015 par la ministre de l'Environnement, Ségolène Royal, après le scandale Volkswagen. Des accusations démenties mercredi par le ministère. Libération a interviewé Charlotte Lepitre, qui participait à cette commission pour l'association France Nature Environnement. A lire en ligne.
«La commission n’a pas pu prouver que Renault utilise un logiciel truqueur, ni qu’elle n’en utilise pas.»
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Publié le 25/08/2016 à 19h41
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