C'est la somme qu'Uber France devra verser à l'Union nationale des taxis (UNT), selon une décision de la cour d'appel de Paris rendue mercredi. L'UNT poursuit la compagnie de VTC au motif qu'elle entretient, dans sa communication vis-à-vis de ses chauffeurs, une «ambiguïté» quant à la possibilité de stationner sur la voie publique en attente d'un client sans réservation préalable (le «maraudage»). Une audience sur le fond dans cette affaire doit encore se tenir le 29 mars prochain devant la cour d'appel de Paris, après le jugement du tribunal de grande instance du 27 janvier.
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