C'est la part de femmes candidates à la primaire de la droite et du centre. En l'occurrence Nathalie Kosciusko-Morizet, la députée LR de l'Essonne qui, dans un entretien au Figaro, a rappelé lundi que sa candidature est politiquement motivée : «Je ne suis pas la femme de service. Je fais avancer des idées qui n'ont pas de genre. Je pense que je n'ai pas à ressentir d'une manière ou d'une autre d'être la seule femme. Demanderiez-vous à chacun de mes concurrents ce que ça leur fait de n'être qu'un sixième des hommes ?» a-t-elle tonné tout en ayant conscience qu'une proportion de parrainages lui ont échu pour éviter que la primaire soit «men only».
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