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«Parlons travail» : mes collègues et moi

Durant deux mois, «Libération» explore en vidéo et en data les premières tendances du questionnaire sur le travail. Aujourd'hui, ces collègues qui vous pourrissent ou vous sauvent la vie.
publié le 23 novembre 2016 à 12h48

Vous passez plus de temps avec lui ou elle qu'avec votre propre famille, il ou elle peut vous pourrir la vie. Il ou elle, c'est votre collègue de travail. «Parlons travail», le grand questionnaire initié par la CFDT, soutenu par Libération et qui approche des 150 000 répondants, vous a interrogés sur ce qui représente votre environnement de travail direct et que vous considérez comme essentiel à votre bien-être quotidien.

Preuve de l’importance de cette personne que vous côtoyez au boulot tous les jours, vous êtes une large majorité à penser qu’il suffit d’un collègue pénible pour vous compliquer la vie ou au contraire d’un collègue sympa pour que tout aille pour le mieux.

Dans très peu de cas, les personnes interrogées signalent des relations tendues avec leurs collègues. Au contraire, elles sont cordiales pour un grand nombre. Et formidables pour un petit nombre de privilégiés. Et la moitié d’entre vous sont partis ou pourraient partir en vacances avec des collègues.

Si les deux tiers des répondants trouvent qu’au travail, on a plutôt tendance à s’aider les uns les autres, le questionnaire fait apparaître un léger paradoxe : d’un côté les 3/4 des personnes interrogées estiment que le travail ne se résume pas à l’axiome brutal et individualiste «soit tu marches sur les autres, soit tu te fais marcher dessus» ; et de l’autre une large majorité pense que pour réussir, on ne peut compter que sur soi-même. Laquelle relève de l’intention ? Laquelle reflète la réalité ? Ces deux attitudes sont-elles compatibles au fond ? Il sera intéressant de l’explorer.

Vous pouvez participer à cette grande expérience en répondant directement ci-dessous.