François Thierry, 48 ans, sort de l’école de police en 1994. Sa première affectation le mène à Nantes, où il se fait rapidement repérer. Ensuite, c’est à Pointe-à-Pitre (Guadeloupe), poste très exposé, qu’il démontre son appétence pour les stups. En 2001, les unités opérationnelles de l’Ocrtis lui sont confiées. Cinq ans plus tard, il décroche les rênes du très mystérieux Service interministériel d’assistance technique (Siat), chargé des infiltrés. En 2010, il devient l’omnipotent patron de l’Ocrtis, avant sa mutation à la Sous-direction anti-terroriste (Sdat) au printemps dernier. Photo AFP
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