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Libération

Trois raisons d’aller voir l’expo pour enfants d’Invader

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publié le 27 janvier 2017 à 19h56

on n’a pas joué à «Pong» depuis 1978

Les raquettes bâtons, l’écran noir et blanc, le score en gros chiffres carrés… L’alpha et l’oméga du jeu vidéo est ici représenté dans sa version arcade, adapté néanmoins, avec un écran à hauteur d’enfant.

On n’a pas oublié le «Rubik’s Cube»

Une salle est entièrement dédiée au jeu. Un prétexte à un aspect de l’art d’Invader qui utilise les carrés du casse-tête pour créer des images pixellisées en six couleurs, visibles dans toutes leurs nuances en mode photo d’un smartphone.

On a des enfants

Le Musée en herbe s’adresse principalement à eux : ils peuvent notamment reproduire des Invaders à l’aide d’aimants, dans une reconstitution de l’atelier, le «mothership», de l’artiste.