En Marche. Emmanuel Macron, candidat d'En Marche! à la présidentielle, a déclaré qu'il acceptait «l'alliance» proposée par le président du MoDem François Bayrou, qui a renoncé à se présenter lui-même, y voyant «un tournant de la campagne» mais aussi «de la vie politique». Ce matin, François de Rugy rejoignait également sa campagne, rompant ainsi avec l'engagement pris au moment de la primaire de la belle alliance.
Emplois fictifs. Après François Fillon, Marine Le Pen est à son tour gênée par une affaire d'assistants parlementaires en pleine campagne présidentielle: son garde du corps et sa cheffe de cabinet étaient en garde à vue mercredi dans l'enquête sur des soupçons d'emplois fictifs au Parlement européen.
Débat. TF1 a convié Fillon, Hamon, Le Pen, Macron et Mélenchon à une émission spéciale le 20 mars, mais pas les autres candidats. D'après le CSA, la chose semble inattaquable d'un point de vue juridique. Il pourrait néanmoins émettre une recommandation défavorable.
Bartolone. Le président de l'Assemblée nationale Claude Bartolone (PS) a surpris mercredi en annonçant depuis le «perchoir» qu'il ne se représenterait pas aux élections législatives de juin, à l'ouverture de la dernière séance de questions au gouvernement de la 14e législature.
Transparence. Le Parlement a adopté mercredi son dernier texte de la législature, une proposition de loi PS renforçant les obligations comptables des partis politiques et des candidats aux élections afin d'accroître la transparence de leurs financements.
Justice. La cour d'assises de Paris a condamné mercredi à 25 et 13 ans de prison un braqueur radicalisé et un jeune converti pour avoir pris en otage la famille d'un postier en 2013 en vue de constituer un butin destiné à des «actes de terrorisme».
Mossoul. Les forces irakiennes se préparent à lancer l'assaut sur l'aéroport de Mossoul, porte d'entrée de la partie ouest de la deuxième ville du pays et dernier grand bastion du groupe Etat islamique (EI).
Syrie. La Russie a demandé au gouvernement syrien de stopper les bombardements aériens pendant la durée des pourparlers de Genève, a annoncé mercredi à la presse l'émissaire spécial de l'ONU sur la Syrie, Staffan de Mistura.