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Libération

Plus-value Muriel Pénicaud juge les accusations «absurdes» et «blessantes

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publié le 31 juillet 2017 à 20h36

Vilipendée par la gauche et le FN à cause du 1,13 million d'euros de plus-value empoché lorsqu'elle était DRH de Danone deux mois après l'annonce d'un plan de 900 départs volontaires, la ministre du Travail, Muriel Pénicaud, a rejeté en bloc ces accusations. «Penser que j'aurais pu, quatre ans à l'avance, parce qu'on m'attribue un plan de stock-options, imaginer qu'il serait bien qu'à cette date-là, il puisse y avoir un plan de restructuration, un plan de départs volontaires de salariés, pour faire une plus-value, c'est juste absurde, blessant», a-t-elle déclaré lundi, interrogée lors d'une audition par la commission des affaires sociales.