Lors de son discours à Marseille dimanche, Jean-Luc Mélenchon l'affirmait : «Nous sommes prêts à gouverner demain s'il le faut.» Depuis quelques jours, ses partisans répètent que la situation sociale aboutira à un départ anticipé de l'exécutif. Et les insoumis comptent mettre Macron sous pression. Première étape : la mobilisation contre la réforme du code du travail, le 23 septembre. Photo AFP
Les «élections anticipées», nouveau credo des insoumis
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publié le 30 août 2017 à 20h06
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