estimant qu'il pourrait s'agir de «crimes contre l'humanité». «Il y a un risque réel que les tensions augmentent encore, le gouvernement écrasant les institutions démocratiques et les voix critiques», a précisé Zeid Ra'ad Al Hussein, dénonçant les procédures pénales engagées contre des dirigeants de l'opposition, les détentions arbitraires, l'usage excessif de la force et le mauvais traitement des détenus. Le haut commissaire a également souligné que le Venezuela était actuellement l'un des 47 Etats membres du Conseil des droits de l'homme et, à ce titre, a le devoir de les défendre et promouvoir. Fin août, Al Hussein avait déjà jugé publiquement que la démocratie était en danger de mort à Caracas.
Le haut commissaire de l’ONU aux droits de l’homme a demandé lundi une enquête internationale sur l’usage excessif de la force par les autorités au Venezuela,
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publié le 11 septembre 2017 à 20h26
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