La cour d'appel d'Aix-en-Provence a condamné lundi Pierre-Alain Mannoni à deux mois de prison avec sursis pour «aide à l'entrée, à la circulation ou au séjour irréguliers d'un étranger en France.» En octobre, cet ingénieur de l'université Sophia-Antipolis, membre du CNRS, était interpellé par des gendarmes avec trois Erythréennes auxquelles il venait en aide. En première instance, le tribunal correctionnel de Nice l'avait relaxé, au nom d'une «immunité pénale» liée au contexte humanitaire de son intervention. Son histoire est à lire sur Libération.fr.
Migrants Un universitaire condamné pour avoir aidé trois Erythréennes
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publié le 11 septembre 2017 à 19h46
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