Le gouvernement a lancé vendredi les discussions avec les partenaires sociaux et les régions sur la réforme de l'apprentissage. Accompagnée de ses collègues Jean-Michel Blanquer (Education nationale) et Frédérique Vidal (Enseignement supérieur), la ministre du Travail, Muriel Pénicaud, a repéré«une trentaine de freins», citant l'impossibilité d'entrer dans le dispositif en cours d'année, la lenteur pour créer une formation, et le manque de passerelles lorsqu'un jeune rompt son contrat. Pour les lever, la ministre veut que «les entreprises [puissent] davantage piloter les centres en fonction de leurs besoins».
«Il ne s’agit pas juste de quelques rustines, [le développement de l’apprentissage] n’est possible que si nous refondons le système à partir des jeunes et des entreprises.»
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publié le 10 novembre 2017 à 20h36
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