Convoqué par la ministre des Transports, Elisabeth Borne, après des incidents en série, le président de la SNCF a confié vendredi au Parisien que son mandat était «à disposition du gouvernement». Après dix ans aux manettes, Pepy, dont le mandat arrive à échéance en 2020, n'a pas l'intention de démissionner, et le gouvernement ne souhaite pas le voir partir avant d'avoir négocié avec les syndicats l'alignement des retraites des cheminots sur le régime général.
Dans la même rubrique