Sans surprise, le tribunal de commerce de Paris a validé mercredi l'offre de reprise du magazine féministe Causette, en proie à des difficultés financières et des remous internes, par Hildegarde, actionnaire de référence de l'éditeur des publications ciné Première, le Film français et StudioCinéLive. «Nous sommes ravis, a réagi Laurent Cotillon, le directeur de ces titres. On avait très envie de reprendre Causette, de défendre cette cause. Nous sommes heureux d'avoir limité la casse sociale.» Quatorze des dix-huit salariés du mensuel seront conservés dans sa nouvelle mouture.
Dans la même rubrique