«Il suffit d’ouvrir les yeux pour comprendre la vie quotidienne de celui qui court de son logement à la gare proche ou lointaine, au métro bondé, au bureau ou à l’usine, pour reprendre le soir ce même chemin, et venir chez lui récupérer la force de recommencer le lendemain.»
publié le 23 mars 2018 à 18h46