Ian Brossat a pris une décision : la tête de liste du PCF ne veut plus dire de mal de ses concurrents de gauche. «Il m'est arrivé de le faire par le passé, j'ai eu tort», s'est repenti le communiste sur France Info mardi matin. Et de demander un «code de bonne conduite» : «Notre responsabilité, c'est de ne pas nous taper dans les pattes (sic). Quand on salit ses partenaires de gauche, on se salit soi-même et on affaiblit son propre camp.» Surtout, Brossat pense déjà aux municipales, dans un an, lors de laquelle la gauche devra plus encore se rassembler.
Européennes Ian Brossat (PCF) veut un pacte de non-agression à gauche
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publié le 23 avril 2019 à 20h56
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