«Face à la dégradation, voire la destruction irrémédiable de la nature, l'attribution de droits à des entités non humaines tend à devenir un sujet de première importance», écrit dans une tribune un collectif de personnalités civiles et politiques. Pour elles, donner une identité juridique au fleuve de la capitale, à l'instar du Gange en Inde ou du Río Atrato en Colombie, permettrait d'engager des poursuites judiciaires contre les atteintes à son intégrité.
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