C'est le nombre de villes de plus de 9 000 habitants dans lesquelles le Rassemblement national a des candidats (contre 422 en 2014), selon une étude réalisée pour la Fondation Jean-Jaurès et publiée jeudi. Le parti d'extrême droite n'est pas présent dans plus des deux tiers des principales communes. Cela vient «nuancer la thèse d'une irrésistible ascension» du RN, selon Jérôme Fourquet, de l'Ifop. Le changement de nom du FN qui devait «permettre un désenclavement idéologique et la passation d'accords» ne lui a pas permis de s'étendre.
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