Justice

Rançongiciel : l’«enfer professionnel» des victimes au tribunal

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Dix ans de prison ont été requis à Paris contre le Russe Alexander Vinnik, soupçonné d’être un des cerveaux du logiciel Locky, qui aurait siphonné au moins 134 millions d’euros.
publié le 25 octobre 2020 à 20h31

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